Le Paris Saint-Germain (PSG) est l’un des clubs de football les plus prestigieux en France, basé à Paris. Fondé en 1970, le PSG a connu un succès international croissant au fil des ans, devenant l’un des clubs les plus riches et les plus reconnus dans le monde du football. Le Parc des Princes est le stade emblématique où le PSG joue ses matchs à domicile. Situé dans le 16e arrondissement de Paris, le Parc des Princes est un lieu chargé d’histoire et d’émotion pour les supporters du PSG, offrant une atmosphère électrique lors des grands matchs.
Société: Partir du Parc des Princes: une idée qui ne date pas d’hier
Vendredi 29 mars, le club de football du Paris Saint-Germain a officialisé sa volonté de construire un nouveau stade en Île-de-France. Selon les informations du Parisien Matin, le club aurait envoyé une lettre adressée au patron de la commission d’enquête du schéma directeur de la région Île-de-France, démontrant sa volonté de trouver un site pour y construire un nouveau stade.
Cela fait déjà un bon moment que les dirigeants du PSG avaient en tête de partir du Parc des Princes.
La principale raison serait un désaccord entre Nasser Al-Khelaïfi, président du PSG, et la mairie de Paris. D’après le directeur du club parisien, cela ferait plusieurs années que la direction et lui essaient de racheter le stade. Néanmoins, Anne Hidalgo, maire de Paris, refuse depuis toujours de vendre le Parc des Princes. Ces nombreux désaccords ont amené à la déclaration du 8 février 2024, durant laquelle le président du PSG va affirmer son intention de voir le club parisien plier bagage.
« C’est trop facile de dire maintenant que le stade n’est plus à vendre. On sait ce que l’on veut, on a gâché des années à vouloir acheter le Parc. C’est fini maintenant, on veut bouger du Parc ». Ces phrases prononcées par le dirigeant parisien lors du congrès de l’UEFA à Paris avaient secoué la planète foot et pourtant ses propos étaient pour beaucoup pris comme du bluff.
Aujourd’hui, la réalité est toute autre et le dirigeant ne semble pas bluffer. À travers cette nouvelle lettre signée de la main du secrétaire général du PSG, Victoriano Melero, le PSG accélère les discussions. Le club montre à la maire de Paris sa véritable intention de quitter le stade et les dirigeants explorent de plus en plus les pistes visant à la construction d’un nouveau stade dans un rayon de 20 km de la capitale.
En février, où les déclarations des dirigeants du PSG n’étaient prises que pour des rumeurs, le club se voyait bien racheter le mythique Stade de France. Mais le stade n’étant plus à vendre, les dirigeants du PSG avaient d’eux-mêmes abandonnés l’idée.
Mais une autre option se proposait au PSG, Saint-Germain-en-Laye, cette ville qui est liée de nom au club parisien. Cette perspective aurait été parfaite mais le maire Arnauld Péricard est d’un autre avis: « J’ai dit aux dirigeants du PSG et à Valérie Pécresse que ce n’était pas possible à Saint-Germain ». Le maire explique que la présence du club parisien aux abords de la ville causerait de trop grandes nuisances sonores pour les habitants. Le PSG ne trouvera donc pas refuge à Saint-Germain-en-Laye. Néanmoins, Arnauld Péricard ne baisse pas les bras et espère que le club et la Ville de Paris parviennent à trouver un accord.
Mais ces deux déceptions ne sont pas décisives car plusieurs communes d’Île-de-France ont manifesté leur envie d’accueillir le club parisien. On y retrouve Gonesse, Joinville ainsi qu’Aulnay-Saint-Quentin-en-Yvelines qui propose un terrain situé à Montigny-le-Bretonneux.
L’avantage ici est que le terrain se trouve juste à côté du Campus du PSG, ouvert l’été dernier à Poissy. Pour le moment aucun prétendant ne se dégage, la commune choisie devra répondre aux grandes exigences du PSG, parmi-elles, celle de sanctuariser une zone de 50 hectares afin d’accueillir la construction du stade. Un projet XXL !
Le Zimbabwe se prépare à mettre en œuvre différentes stratégies pour atteindre la vision 2030.
L’industrie du tourisme et de l’hôtellerie zimbabwéenne s’engage à mettre en place une série d’approches pour contribuer à la vision nationale visant à faire du pays une économie à revenu intermédiaire supérieur d’ici 2030.
Le ministre adjoint du ministère du Tourisme et de l’Hôtellerie au Zimbabwe, Tongai Mnangagwa, a déclaré dans une interview que son département met en œuvre une variété de stratégies telles que le développement des infrastructures, la promotion et le marketing, ainsi que les réformes politiques afin de renforcer l’économie du pays.
Le plan de développement des infrastructures impliquerait des investissements dans l’hébergement, les transports et les attractions touristiques dans le but d’attirer davantage de visiteurs et de stimuler l’économie du pays. “Le développement des infrastructures impliquerait d’investir dans des infrastructures telles que les transports, les installations d’hébergement et les attractions touristiques pour attirer plus de visiteurs et stimuler la croissance économique”, a déclaré Tongai.
Pour promouvoir et commercialiser l’industrie afin de contribuer à la vision 2030, le ministère s’apprête à lancer des campagnes de promotion du tourisme localement et à l’échelle mondiale avec pour objectif d’attirer davantage de touristes et d’augmenter les recettes du secteur. “En promouvant et en commercialisant l’industrie, nous lancerons des campagnes pour promouvoir le tourisme à l’échelle nationale et internationale afin d’augmenter le nombre de visiteurs et les recettes du tourisme”, a ajouté M. Mnangagwa.
Mnangagwa a souligné que certaines politiques étrangères seront mises en place pour renforcer le secteur du tourisme. Ces politiques incluront la rationalisation des processus de visa, le renforcement de la sécurité, et la création de méthodes pour attirer les investisseurs dans le secteur. “En tant que ministère, nous travaillerons à la mise en œuvre de politiques qui soutiennent le développement du tourisme, telles que la rationalisation des processus de visa, l’amélioration de la sécurité, et la création d’incitations à l’investissement dans le secteur du tourisme.”
En réponse à la question de savoir comment l’industrie travaille pour maintenir un équilibre entre la croissance économique et la préservation du patrimoine national, Mnangagwa a déclaré que son ministère pourrait mettre en place des pratiques touristiques qui incluent la participation communautaire et l’éducation des habitants.
Insistant sur le maintien de l’équilibre entre la croissance économique et la préservation du patrimoine national, Tongai a parlé d’interagir avec les communautés locales dans la gestion et la planification du secteur du tourisme pour s’assurer que leur patrimoine culturel est honoré et respecté. Il a ensuite ajouté que sensibiliser les touristes et les habitants à l’importance de préserver le patrimoine naturel et culturel tout en promouvant le comportement touristique serait bénéfique.
Le secteur se concentrera sur la formation de masse, le tourisme communautaire et le soutien à l’entrepreneuriat dans le but de créer des opportunités économiques significatives pour les habitants.
Selon le ministre, le secteur poursuit globalement une approche équilibrée qui favorise la croissance économique tout en préservant le patrimoine naturel et culturel du pays, et en veillant à ce que les communautés locales bénéficient du développement du tourisme.