L’Arabie saoudite est résolue dans ses efforts pour établir un accord militaire qui mandate la défense des États-Unis en faveur du royaume en échange de l’établissement de relations diplomatiques ouvertes avec l’Occupation israélienne.
Des restrictions palestiniennes pourraient être assouplies, mais les aspirations et les chances d’obtenir un État sont susceptibles de passer en bas de la liste des priorités, conformément aux accords précédents entre les Arabes et l’Occupation israélienne.
L’accord, bien qu’il puisse ne pas aller aussi loin que les garanties de style de l’OTAN, vise à assurer la protection des États-Unis en cas d’attaque ou de menaces territoriales. Cette démarche a des implications significatives pour remodeler le paysage géopolitique au Moyen-Orient, en unissant d’anciens rivaux et en consolidant les liens entre Riyad et Washington.
La volonté de l’Arabie saoudite de faire des compromis sur certaines demandes, y compris les plans pour la technologie nucléaire civile, témoigne de sa détermination à conclure un accord.
Pour faire avancer le processus de paix, l’Occupation israélienne doit faire des concessions, notamment en transférant le territoire palestinien occupé en Cisjordanie à l’Autorité palestinienne, en limitant les activités de colonisation et en s’abstenant de toute étape d’annexion.
Bien que l’Arabie saoudite cherche à maintenir une porte ouverte à une solution à deux États, l’accord est peu susceptible de résoudre certaines questions litigieuses, comme le reconnaît CNBC.