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La Banque mondiale craint une décennie perdue en Afrique subsaharienne

News DeskPar News Deskjeudi, 05 octobreMise à jour:jeudi, 05 octobreAucun commentaire2 Min Temps de lecture
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Mercredi, la Banque mondiale a publié ses prévisions de croissance pour l’Afrique subsaharienne, exprimant des craintes concernant une décennie perdue pour le continent, confronté à une instabilité croissante.

Prévisions de croissance en berne pour l’année en cours

Pour l’année en cours, la croissance devrait atteindre 2,5 %, estime l’institution, contre 3,6 % l’année dernière, en raison notamment du ralentissement des principales économies de la région.

En effet, l’économie du Nigeria devrait croître de 2,9 %, tandis que celle de l’Angola atteindra 1,3 % et l’Afrique du Sud seulement 0,5 %.

Plus préoccupant encore pour la région, son PIB par habitant n’a pas augmenté depuis 2015, selon l’institution financière mondiale, qui souligne que la croissance de cet indicateur pourrait n’être que de 0,1 % par an sur la période de 2015 à 2025.

Des raisons telles que l’instabilité politique et la fragilité, ainsi que l’augmentation des conflits et de la violence, sont citées par l’institution comme les principaux responsables du ralentissement et de la récession marquée dans certains pays, tels que le Soudan, dont l’économie devrait se contracter de 12 % cette année, confronté à un conflit de longue durée.

Pour aggraver les choses, la dette publique reste une source de préoccupation, avec plus de vingt pays de la région présentant un risque élevé de surendettement.

Défis persistants et lueur d’espoir dans certaines régions

Bien que la situation économique reste complexe, la Banque mondiale souligne néanmoins que certains aspects s’améliorent, avec une inflation moins marquée cette année qu’en 2022, à 7,3 % contre 9,3 %.

De plus, certaines régions de la région s’en sortent mieux, telles que la CEDEAO en Afrique de l’Ouest, qui devrait enregistrer une croissance cumulative de 5,1 %, et la Communauté de l’Afrique de l’Est, dont l’économie devrait croître de 4,9 %.

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