La semaine dernière a été marquée par une hausse significative des prix du pétrole, avec une augmentation de plus de 6 % du brut, marquant une reprise notable par rapport à la baisse de la semaine précédente. Cette hausse a été largement attribuée à l’escalade des tensions au Moyen-Orient, notamment alimentée par les actions militaires israéliennes dans la bande de Gaza, notamment le bombardement de Rafah. Les préoccupations accrues du marché concernant ces développements ont joué un rôle crucial dans l’augmentation des prix du pétrole.
Actions militaires israéliennes et escalade des tensions
Les actions militaires intensifiées de l’armée israélienne dans la bande de Gaza, notamment le bombardement de Rafah, ont intensifié les tensions dans la région, provoquant des ondes de choc à travers le marché pétrolier mondial. Le marché a réagi fortement à ces événements, reflétant les préoccupations concernant d’éventuelles perturbations des approvisionnements pétroliers en provenance de cette région volatile.
Rejet du cessez-le-feu et impact sur le marché
De plus, le rejet d’un cessez-le-feu avec le Hamas et la poursuite des hostilités dans la région ont souligné l’importance de l’instabilité géopolitique sur les prix du pétrole. Cela indique que le marché a peut-être précédemment sous-estimé l’impact potentiel des conflits régionaux sur les marchés pétroliers, entraînant une réévaluation des primes de risque par les investisseurs.
La semaine dernière, les contrats à terme sur le pétrole brut léger se sont établis à 76,84 $, marquant une augmentation substantielle de 4,56 $ ou + 6,31 %.