Au cours des derniers jours, des scénarios alarmants ont émergé dans les grands médias américains, dont The Washington Post, The New York Times et The Atlantic, spéculant sur les conséquences potentielles si l’ancien président républicain, Donald Trump, destitué à deux reprises, remportait les élections de 2024.
Mises en garde d’une dictature Trump
Au milieu de ces prévisions sombres, la critique éminente de Trump au sein du Parti républicain, Liz Cheney, a exprimé ses inquiétudes, affirmant que le pays “marche vers la dictature”. Cheney envisage apparemment une candidature présidentielle indépendante pour contrecarrer le retour de Trump au pouvoir. Les prédictions combinées dressent un tableau décourageant d’un Trump plus concentré et vindicatif, suggérant qu’il pourrait prolonger son règne au-delà de la limite traditionnelle de deux mandats.
Réponse de Biden et défense de la démocratie
Le président Joe Biden, confronté à la perspective d’une nouvelle confrontation avec Trump, a reconnu ces avertissements, déclarant qu’ils appuient ses revendications de défense de la démocratie américaine. Biden, âgé de 81 ans, a souligné l’urgence d’empêcher Trump de gagner, citant le langage de plus en plus agressif de ce dernier sur le terrain de la campagne et établissant des parallèles avec la rhétorique de l’Allemagne nazie.
Analyse médiatique : un deuxième mandat potentiel libère un Trump plus sombre
Des médias tels que The Washington Post et The New York Times ont présenté des analyses détaillées des conséquences potentielles d’une victoire de Trump en 2024. Le commentateur conservateur du Washington Post, Robert Kagan, a averti d’une “dictature de Trump de plus en plus inévitable”, le comparant à Jules César. Le New York Times a exploré comment un deuxième mandat pourrait entraîner une présidence plus sombre, avec Trump imitant éventuellement des leaders autocratiques, consolidant le pouvoir à travers des partisans et utilisant les institutions gouvernementales contre les opposants politiques.