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Le Crash d’un avion Air India : Encore un Boeing.

Elizabeth Dos SantosPar Elizabeth Dos Santossamedi, 14 juinMise à jour:samedi, 14 juinAucun commentaire5 Min Temps de lecture
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Le crash du vol Air India a détruit de nombreuses familles
Le crash du vol Air India a détruit de nombreuses familles
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Jeudi dernier, un drame s’est produit près de l’aéroport d’Ahmedabad, en Inde. Un appareil de la compagnie Air India, qui devait relier la ville indienne à Londres, s’est crashé peu après son décollage, causant la mort de 241 personnes. Le bilan humain est particulièrement lourd tant en Inde qu’au Royaume-Uni, puisque 53 ressortissants britanniques figuraient parmi les passagers.

Les autorités britanniques ont réagi pour soutenir les familles et les proches des victimes. Un centre d’accueil a été installé dans un hôtel proche de l’aéroport afin d’offrir une aide concrète et un accompagnement aux citoyens britanniques frappés par ce drame.

Soutenir les familles eendeuillées à cause du crash

Le gouvernement britannique, par l’intermédiaire de son ministère des Affaires étrangères, a annoncé l’ouverture d’un centre d’accueil au sein de l’hôtel Ummed à Ahmedabad. Ce lieu d’accueil, accessible chaque jour de 9 heures à 21 heures (heure locale), a pour objectif d’apporter conseils, informations et soutien psychologique aux familles des victimes. Des représentants consulaires et des psychologues y sont présents pour répondre aux nombreuses questions des proches et les aider à surmonter cette terrible épreuve.

Parmi les 241 personnes à bord de l’avion, on dénombrait, selon les chiffres officiels, 169 citoyens indiens, 53 Britanniques, 7 Portugais et un ressortissant canadien. À ce stade, un seul survivant a été identifié : il s’agit de Vishwash Kumar Ramesh, un citoyen britannique de 40 ans, actuellement hospitalisé. Ses jours ne seraient plus en danger, mais son état nécessite toujours une surveillance étroite.

Certaines vies ont été sauvées

Bhoomi Chauhan, une étudiante en administration des affaires installée à Bristol, a retenu l’attention. La jeune femme devait embarquer sur le vol tragique, mais un embouteillage sur la route de l’aéroport l’a empêchée de rejoindre la porte d’embarquement à temps. Elle n’a manqué son avion que de dix minutes.

D’abord envahie par la colère et la frustration, elle a appris avec stupeur que l’avion qu’elle aurait dû prendre venait de s’écraser. Elle a décrit cet incroyable concours de circonstances comme un véritable miracle. Sa mère a attribué sa survie à la protection de la déesse Mère, exprimant un profond soulagement face à ce coup du destin.

Eh oui, c’est encore un Boeing…

L’avion, un Boeing 787-8 Dreamliner, s’est écrasé moins d’une minute après son décollage. Le choc a eu lieu dans une zone résidentielle densément peuplée, ce qui a également provoqué des dégâts importants au sol. Le ministère indien de l’Aviation civile a confirmé que l’enregistreur de vol avait été retrouvé. Ce dispositif, communément appelé « boîte noire », contient des données essentielles sur les paramètres techniques de l’appareil ainsi que les enregistrements des conversations dans le cockpit. Son analyse devrait permettre de mieux comprendre les circonstances de l’accident.

Les autorités indiennes ont confié l’enquête au Bureau des enquêtes sur les accidents aériens (AAIB). Des experts britanniques et américains, ainsi que des représentants du constructeur Boeing et de l’équipementier GE Aerospace, participent aux recherches pour déterminer les causes exactes de la catastrophe. La priorité est de reconstituer avec précision le déroulement des événements afin de prévenir tout nouvel accident similaire.

Les pistes explorées par les enquêteurs

Les spécialistes se penchent sur plusieurs aspects essentiels pour expliquer ce drame. D’abord, les actions des pilotes seront scrutées à la loupe : leur formation, leur expérience, leur état de fatigue éventuel et leurs réactions lors des instants critiques du vol. Les premiers éléments montrent que l’équipage était très expérimenté, ce qui rend l’analyse de leurs décisions encore plus déterminante.

L’entretien de l’appareil fait l’objet d’une attention particulière. Les registres de maintenance sont passés en revue afin de s’assurer que l’avion était en parfait état de vol au moment du décollage et qu’aucun défaut n’avait été négligé. Le rôle des fabricants est également étudié, qu’il s’agisse du constructeur Boeing pour la cellule de l’avion ou de GE Aerospace pour les moteurs.

Les enquêteurs doivent également vérifier si un défaut technique isolé a pu se combiner à d’autres facteurs pour provoquer l’accident. Ils étudient, par exemple, le fonctionnement des volets, des slats et du train d’atterrissage, ainsi que la configuration des moteurs au moment du décollage. Les communications avec le contrôle aérien, les conditions météorologiques et la visibilité sont également analysées pour comprendre l’environnement dans lequel s’est déroulée cette tragédie.

Une longue enquête à venir

La recherche des causes précises d’un tel accident prend du temps. Un premier rapport préliminaire devrait être publié dans un délai de trente jours.

Ce document livrera les premières constatations, mais sans conclusions définitives. Il faudra sans doute entre un an et un an et demi pour que le rapport final soit rédigé. Celui-ci comprendra les analyses complètes des données techniques, les résultats des simulations effectuées sur des modèles numériques de l’avion et des entretiens menés avec les acteurs impliqués.

Ce rapport permettra de formuler des recommandations pour améliorer la sécurité des vols, renforcer les procédures et, si besoin, corriger des éléments techniques sur les avions concernés.

AirIndia Boeing Crash Vishwash Kumar Ramesh
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